Recherche et scénarisation Philippe Baylaucq
Chorégraphie José Navas
Danseurs Lindsey Renée Derry Sarah Fregeau Alexandre Jolicoeur François Richard Lauren Semeschuk Émilie Tremblay
Direction technique Pierre Plouffe
Cinématographie Sébastien Gros
Stéréographe Francis Hanneman
Ingénieur électro-optique
Santa Barbara Focalplane
Arn adams. Ph. D
Directrice de production Virginie Léger
2ième assistant camera
Matthew Garland
Key grip
Adam Lukens
Best boy
Justin Bennett
Directeur artistique
(décor de danse)
Gilles Aird
Script
Marie Beaulieu
Musiciens
Annick Beauvais
Guillaume Bourque
Alexandre Castonguay
Jean Derome
Robert Ellis
Olivier Maranda
Ligia Paquin
Pierre Pépin
Jacques Séguin
Édition de la musique
Nicolas Boroycki
Montage Alain Baril
Stéréographes en postproduction Yannick Grandmont Emmanuel Suquet
Conception sonore Benoît Dame
Musique Robert M. Lepage
Photographes de production Pierre Plouffe Philippe Baylaucq Sébastien Gros René Chénier
Produit dans le cadre
du Programme d’artiste en résidence
Programme français
Directrice Générale
Monique Simard
Producteur René Chénier
Ora change la donne en proposant un voyage en territoire inconnu. Dans ce premier film à utiliser l’imagerie thermique en 3D,
des corps lumineux émergent d’une seule cellule en cours de division.
Ce qui s’ensuit s’apparente aux premiers pas de l’humain: la découverte du corps et de sa relation à l’espace.
Le chorégraphe José Navas et le réalisateur Philippe Baylaucq
créent une sensation cinématographique.
Festival Dance on camera Lincoln Center, New York.
En termes de nouveauté, il est difficile de faire mieux qu’ORA, un court métrage produit par l’ONF,
le tout premier film à exploiter pleinement les possibilités visuelles de la thermographie en stéréoscopie.
Ce que vous voyez est entièrement généré par la chaleur qui émane des corps de six danseurs en mouvement. Le résultat luminescent de ce mariage de l’art et de la technologie se lit comme une mise à jour, au 21e siècle, du légendaire Pas de deux, film de danse classique de 1968 de Norman McLaren, icône de l’ONF.
Jason Anderson, The Toronto Star
Techniquement, c’est le film le plus futuriste et le plus novateur du TIFF 2011. Baylaucq a réuni une troupe de six danseurs modernes,
musclés et élégants, et les a photographiés avec des caméras thermiques 3D.
Ces caméras détectent la chaleur et non la lumière, et les contours évolutifs que nous voyons dans le corps de chaque danseur sont exaltants,
ainsi que scientifiquement intéressants. Ici, l’art ésotérique et la technologie se fondent dans le divertissement grand public. À l’instar des célèbres expériences de Muybridge avec les premières
de la caméra cinématographique (il a montré un cheval et un homme en locomotion), ORA est un bond en avant passionnant.
Bruce Kirkland, Toronto Sun.
Ora est un régal visuel – une chorégraphie de danse moderne rencontre une innovation cinématographique de premier ordre.
C’est la première fois que la technologie de l’imagerie thermique infrarouge est utilisée pour tourner un film complet
(la technologie est strictement contrôlée et limitée aux applications militaires, médicales et scientifiques) et il est tourné en 3D de surcroît.
L’expérience sensorielle qui en résulte est incroyable.
Dave Robson, IMDB.
Les films ne sont pas tous narratifs. Certains sont conçus comme des œuvres d’art. Au TIFF, le film de danse canadien ORA, d’une durée de 15 min. fut un exemple stupéfiant de danse, de cinéma et de musique qui s’entrecroisaient pour créer une beauté visuelle absolument hypnotisante.
Paula Citron, Le nouveau classique.
Revue de tournage