Production
Nathalie Barton
Philippe Baylaucq
Françoise de le Cressonnière
Recherche
Philippe Dubé
Cinématographie
Gilbert Ferron
André Paul Therrien
Philippe Baylaucq
Prise de son
Gilles Corbeil
Montage
Bernard Labelle
Musique
Eric Longsworth
Conception sonore
Marie-Claude Gagné
Mix sonore
Dany Ouellet
Jean-Pierre Bissonnette
Photographes de production
Philippe Baylaucq
René Bouchard
« Un affectueux et clairvoyant portrait d’un artiste inclassable »
Francine Laurendeau, La revue Ciné-bulles
« Extraordinary… a discovery of the highest order »
John Griffin, The Montreal Gazette
Jouant à fond la carte de l’énigme, «quelques pistes à remonter»
sont engagées afin de comprendre ce peintre, cet homme, sa «fascination
pour les catastrophes», et sa peinture, «à la fois si merveilleuse et si terrifiante»,
avant de voir à la toute fin le «mister» en question, né en 1917,
s’adresser directement à la caméra, révélant lui-même le secret de son art.
Le film au rythme lent, approprié aux mouvements de ce « nomade du monde imaginaire»,
répond au tournoiement des images peintes, dramatiques, effroyables parfois,
en préférant à l’image d’un peintre torturé celle, savoureuse, d’un cocasse délinquant.
Avare de chronologie et de discours sur la peinture (trop?), le film nous gave des
toiles oniriques du peintre et explique, sans les gonfler inutilement au mythe,
les choix de vie effectués par le peintre.
Bernard Lamarche, Le Devoir, Montréal
Revue de tournage