Concept et scénario
Philippe Baylaucq
Chorégraphie
José Navas
Interprètes
José Navas
Chi Long
1ière Assistante à la réalisation
Marie-Christine Lavoie
Cinématographie
Jean-Pierre Lachapelle
Montage
Roch La Salle
Conception sonore
Marie-Claude Gagné
Consultant danse
Philip Szporer
Directrice de production
Michèle Pérusse
Producteurs
Iolande Cadrin-Rossignol
Barrie Angus McLean
Photographe de plateau
Bertrand Carrière
Crédit photo :
… A work of startling, unearthly beauty
Deirdre Kelly, The Globe & Mail, Toronto
… A true art film
Anna Kisselgoff, The New York Times
… Astonishing cinematography
Elizabeth Zimmer, The Village Voice
… Some of the most intriguing conceptualization since the NFB’s Norman MacLaren
made history in 1968 with his freeze frame, multi-image Pas de Deux
Michael Scott, The Vancouver Sun
… A stunning piece of black & white cinema-choreography,
it inherits the classic status of Norman MacLaren’s Pas de Deux.
Cameron Bailey, Now _ Toronto’s entertainment Weekly
… A bona fide work of art
John Haslett Cuff, The Globe & Mail, Toronto
… Un étonnant et merveilleux voyage de la mort, à ne pas manquer
Andrée Martin Le Devoir, Montréal
… Le plus beau film de danse du monde des dernières années
Marja-Terttu Kivirinta, Helsingin Sanomat, Helsinki
Depuis le Pas de deux de Norman McLaren, le cinéma canadien n’a pas réussi à réaliser une fusion aussi brillante entre la danse et le film que le spectaculaire Lodela de Philippe Baylaucq. Inspiré par le Livre des morts tibétain, les obsessions oniriques de Carl Jung et les œuvres d’art de Willima Blake, Lodela n’est certes pas une invocation New Age et nébuleuse d’un nirvana spirituel induit par des cristaux. L’oeuvre dont le titre est inspiré du mot « l’au-delà », fut tourné en 35 mm et en vidéo. Cet examen austère et contrasté, en noir et blanc, des intersections entre la vie et la mort, l’homme et la femme, la matière et l’esprit, est un film rigoureux et incisif sur la lutte des contraires. Les danseurs, le duo souple et explosif de Jose Navas et Chi Long, sont séparés, intégrés et séparés à nouveau tout au long du récit obscur et émouvant de ce film sur la vie et la mort. Au-delà de cette extraordinaire fusion des deux formes d’art basées sur le mouvement, Baylaucq a créé un film qui, à l’instar du grand cinéma, est une saisissante négociation entre l’obscurité et la lumière.
Tom McSorley
Institut canadien du film
Revue de tournage