À l’image d’une campagne complexe, le projet de ce Don Quichotte nippon est prémonitoire du lent enlisement dans lequel les pays occidentaux se sont retrouvés malgré toutes les bonnes intentions de départ. S’il est très difficile de réparer le cours des choses, il est toujours possible de se changer soi-même et c’est peut-être là, bien modestement, que la réconciliation se forge.
Avec la complicité de
Haruhiro Shiratori
Kisho Kurokawa
Yasuhiro Nakajima
Zabiullah Naseeri
Ihsanullah
Tomoko Shiratori
Production
Nathalie Barton
Yves Bisaillon
Ian Quenneville
Patricia Bergeron
Recherche et scénario
Philippe Baylaucq
Cinématographie
Philippe Lavalette, Philippe Baylaucq,
Domimic Morissette
Prise de son
Richard Lavoie
Montage
Dominique Sicotte
Musique originale
Robert Marcel Lepage
Conception sonore
Benoît Dame
Patrick Rioux
Coordinateur de production au Japon
et assistant du réalisateur
Brian Hulse
Attachée à la culture et à l’éducation
Délégation générale du Québec à Tokyo
Kimi Amano
Interprètes à Tokyo
Atsuko Matsunami
Miya French
Traduction du japonais
Michel Richard
Yukari Hamagaki
Traduction du dari
Arezo Yousufzai
Recherche dans les archives japonaises
Françoise de la Cressonnière
Équipe de tournage d’appoint
au Japon Video Wing
Caméra – Kei Nakagome
Caméra – Yasuhisa Kaburagi
Prise de son – Osamu Yoda
Éclairagiste – Misato Nasaux
Photographe – Kouyou Isihikawa
Musiciens
Bernard Falaise, guitare
Yanik Cloutier, dobro
Jocelyn Drainville, shakuhachi
Ganesh Anandan, percussions
Shinichi Kinoshita, shamisen
Assistant de production et interprète
à New York
Tsutomu Fujiki (Hiro)
Denise Martel – LE JOURNAL DE MONTRÉAL
**** « Le film de Philippe Baylaucq est à la fois émouvant et honnête ».Benoit Bisson – 7 JOURS
***½ « Un film magique et inspirant, qui montre comment le deuil, la souffrance et la colère peuvent se transformer en espoir et en infini, Un idéal pour des lendemains meilleurs. »Martin Gignac – ICI
*** ½ « Une histoire touchante… Un film émouvant et qui fait réfléchir. »Mario Cloutier – LA PRESSE
« Philippe Baylaucq a construit une belle mosaïque. Un beau film. »Rebecca Makonnen – RADIO-CANADA
« Un très beau film »Odile Tremblay – LE DEVOIR
« Un message d’espoir qui ne laissera personne indifférent.CINÉMA MONTRÉAL
« Un rêve pour Kaboul est un très beau film, qui ne sombre jamais dans le sensationnalisme. dans le sensationnalisme »Sophie Bernard – LE LIEN AUDIOVISUEL
Cette étude profondément intime et douloureusement candide d’un père japonais en quête de sens après la mort de son fils dans l’effondrement des tours jumelles le 11 septembre, est parfois déprimante, des fois inspirante, souvent inconfortable, mais toujours captivante. Le réalisateur fait preuve d’une perception visuelle aigue des différents lieux de tournage (Afghanistan, New York et Japon) et l’utilise à bon escient pour rappeler au spectateur les nombreuses similitudes et différences culturelles. Il fait également preuve d’une capacité impressionnante à laisser transparaître l’humanité d’un individu complexe. La sobriété exemplaire de l’histoire respecte à la fois les ambiguïtés du sujet et l’intelligence du public.Déclaration du Jury au Reel World Festival , Toronto, 2009
.Revue de tournage