Production
René Chénier
Isabelle Limoge
Cinématographie et directeur technique
Bruno Colpron
Assistante-réalisatrice
Isabelle Pruneau-Brunet
Composition de la musique originale
Robert Marcel Lepage Assisté par Nicolas Borycki
Conception sonore
Benoit Dame
Assisté par Catherine Van Der Donkct
Monteur et chef infographiste 360 ̊pour dôme
Sindre Ulvik-Péladeau
Conception graphique et postproduction
Sindre Ulvik-Péladeau,
Bruno Colpron,
Sébastien Gravel,
Sarah Ouellet et Serge Verreault
Artistes de cirque
Andréanne Nadeau (cerceau aérien)
Justin Dale (roue Cyr)
« … une œuvre d’art à la puissance 10 » – La Presse, Montréal.
« Kyma est absolument magnifique … hypnotisant! » MIFF, Planétarium de Melbourne
«Spectaculaire!» – Société Radio-Canada
« Etonné, touché et inspiré » – Est Montréal
… J’ai vu de très beaux effets organiques dans un film de l’Office national du film du Canada que j’ai apprécié … beaucoup de plans en réservoirs, de plongées et d’effets d’eau, vraiment magnifiques, … j’évolue dans ce sens à chaque fois que je le peux.
Douglas Trumbull se référant à Kyma dans son discours lors de la 10e édition d’Imersa, Columbus Ohio, 2018.
Ce voyage astral de l’atome à la Voie lactée passe
par Montréal et Baie-Saint- Paul, sur (une) musique de Robert
Marcel Lepage. Il invite aux méditations écologistes en
changeant l’échelle des plans et en offrant au public une
sorte d’état de transe … Nous voilà sautant d’une dimension à l’autre,
pour pénétrer tantôt une simple goutte, tantôt le cosmos …
Si c’est beau, Kyma, ondes en puissance?
Oui, comme une symphonie visuelle et musicale remplie de trouvailles,
parfois sous prises de vue réelles, avec acrobates dans leurs cerceaux, musiciens
d’orchestre et paysages mêlés aux images virtuelles.
Odile Tremblay, Le Devoir, Montréal, 14 mai 2017
Le mystère de l’énergie créatrice que recèlent la vie et l’univers a de tout temps alimenté l’imagination productrice de réalisations artistiques, scientifiques ou philosophiques.
N’est-ce pas d’ailleurs aux œuvres issues de l’imagination que nous devons de survivre aux absurdes inégalités politiques et économiques qui en soi rendent l’existence insoutenable?
Certains poètes et musiciens ont su nous offrir une diversité de langues pour témoigner de cette mystérieuse énergie.
Rares sont toutefois les cinéastes qui s’y sont risqués. KYMA fait donc figure d’exception. Sa réalisation nécessitait un formidable mélange de curiosité,
de vision, de connaissances techniques… sans compter la capacité d’unir ces talents en un exutoire créatif s’appuyant sur de solides compétences organisationnelles et sur une direction inspirée.
Réunis sur un écran hémisphérique, l’animation, les scènes réelles, les images spectaculaires, la musique et les effets sonores repoussent sans contredit les limites de la création. Mais plus encore, ils fournissent au spectateur l’occasion de reconnaître toute la chance qu’il a d’être vivant, témoin des beautés éternelles et infinies de l’énergie créatrice émanant de la vie et de l’univers.
Kyma est l’un de ces films d’exception qui, à l’instar d’une sonate de Rachmaninoff, d’un poème de Blake, d’une toile de Riopelle ou d’une métaphore de l’astrophysicien Hubert Reeves, peut être vu et entendu d’innombrables fois sans perdre sa capacité d’inspirer et d’éclairer.
Martin Duckworth, recommandation au Prix Réals 2018
Revue de tournage