Ce conte musical de 56 minutes conçu avec des marionnettes est un bijou porté par un vrai regard d’artiste, quelque chose de charmant, pétri de poésie et de trouvailles de mise en scène … C’est un pari maison qui remporte sa mise, un vrai beau film pour enfants élevant le genre. Après avoir entrainé leurs petits sur l’écran de Harry Potter, les parents devraient peut être faire un détour par Ex-Centris pour aller voir ce qu’on fait dans le genre chez nous avec trois sous, mais un sens du merveilleux qui n’a pas de prix.

Odile Tremblay, Le Devoir , Montréal, 13 novembre 2001

Les parents réfractaires aux productions Disney et désireux de montrer à leur progéniture une autre forme d’animation vont être comblés par Hugo et le Dragon. C’est très joli, poétique, coloré, artisanal, mais surtout inventif, et les enfants, en particulier les petits, apprécieront.

STUDIO, #186, février 2003

Une aventure qui met en scène plus de 40 marionnettes, plus vivantes les unes que les autres et une nuit d’étoiles filantes pour faire scintiller nos yeux.

À nous Paris, 3 au 9 fév. 2003

Poésie et artisanat sont au menu de ce conte musical venu du Québec, qui brode joliment sur les thèmes du rêve et de l’amitié. Cette œuvre attachante se paie le luxe de montrer au travail les six marionnettistes vêtus de noir qui animent quelque quarante marionnettes, sans que cela nuise à son charme.

Virginie Gaucher, Pariscope, 5 au 11 fév. 2003

Beaucoup de magie, de fantaisie, d’inventions, de poésie et de chansons … Une aventure artisanale sans effets spéciaux, …des bouts de ficelles, mais aussi beaucoup de sophistication dans une recherche scénique et graphique.

Figaro,5 fév. 2003

Hugo et le dragon est un conte musical d’origine québécoise où se mêlent deux mises en scène: celle du spectacle de marionnettes et celle du spectacle cinématographique. Avec cette particularité pour la première qu’on ne nous en cache pas les coulisses. C’est drapés de noir, discrets mais bien visibles, que les marionnettistes insufflent la vie à leurs créatures devant nos yeux ébahis jusqu’à ce que les mouvements de la caméra, investissant l’espace de l’univers d’Hugo, nous plongent dans la rêverie la plus complète.

Utopia Cinéma, fév, 2003